LA vérité sur Ouvéa n’existe peut-être pas sur ces tragiques événements tellement nous avons lu de choses sur le sujet, mais un ancien journaliste très bien renseigné (aujourd’hui à la retraite) et qui vient d’ouvrir un simple blog très mal articulé au passage s’est efforcé de l’approcher. Des témoignages poignants accompagnés de documents officiels viennent agrémenter ses écrits qui font froid dans le dos.

Avant de publier cet article, j’ai pris le soin de rentrer en contact avec M. Jean-Guy Gourson car ses publications sont tellement sensibles que je me suis senti obliger d’en savoir plus sur cet ancien journaliste. Une fois le contact établi par email, nous nous sommes téléphoné pour converser quelques minutes au sujet d’Ouvéa.

C’est toujours compliqué d’aborder cet épineux sujet un peu plus de 26 ans après les faits et dans cette période de paix que la Nouvelle-Calédonie traverse mais d’un autre coté, tellement de choses ont été dites et tellement d’Hommes sont morts qu’on ne peut d’un revers de main oublier cette opération VICTOR très controversée. Je ne dis pas ici que Jean-Guy Gourson détient LA VERITE mais les témoignages qu’il a recueilli et les documents qui agrémentent ses écrits ne peuvent que nous faire réfléchir sur tout ce qu’on nous a raconté jusqu’à l’heure. Son blog se lit à l’envers comme n’importe quel blog, il est donc important de l’aborder par la fin pour suivre le fil de son récit qui est encore loin d’être terminé. Aujourd’hui à la retraite et à l’abris de toutes menaces, il prend tout son temps pour déployer ses articles et pèse chacun de ses mots car comme tout le monde, il sait que les plaies d’Ouvéa sont encore grandes ouvertes…

SON PREMIER ARTICLE DEVRAIT VOUS METTRE EN APPÉTIT !

C’était au printemps 1994. Au téléphone, un interlocuteur anonyme proposait de me remettre une série de documents concernant les événements qui s’étaient déroulés en avril-mai 1988 sur l’atoll d’Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie. Rendez-vous fut pris. Le jour dit, il était là, pile sous la grande horloge du hall de la gare de Lyon, à Paris. Un homme massif, engoncé dans un imperméable mastic à col relevé et portant chapeau mou, perruque et lunettes noires, une serviette en cuir à la main. Comme dans un mauvais polar. Nous nous sommes attablés au sous-sol d’un café, désert à cette heure matinale. Il a extrait de sa serviette une poignée de procès-verbaux d’audition émanant de la Brigade de Recherche de gendarmerie de Nouméa. Et deux albums au format 21×29,7cm sous couverture blanche cartonnée contenant chacun une série de photographies réalisées les 5 et 6 mai 1988 par les officiers de police judiciaire (OPJ) venus de la Grande Terre.

Les premières photos, accompagnées de croquis et brièvement légendées, avaient été prises peu après la fin de l’«Opération Victor», sur les lieux mêmes où s’étaient affrontés les troupes d’élite de l’armée et de la gendarmerie et les militants indépendantistes, à proximité du «Trou des guerriers», la grotte sacrée de la tribu de Gossanah où étaient encore détenus vingt-trois otages.1 On y voit des corps, des armes, des étiquettes numérotées, comme sur ces scènes de crime que les séries télévisées nous ont rendu familières. Le second album contenait l’ensemble des photos faites par les OPJ le lendemain des combats, dans le hall de l’aérodrome d’Ouloup, lors de l’autopsie «foraine» effectuée par deux médecins-légistes acheminés par hélico, les docteurs Jean Véran et Pierre Deconninck : des examens visuels, pratiqués à la chaîne2 sur les corps des dix-neuf indépendantistes morts pendant et après les assauts. Dix-neuf cadavres étendus à l’abri des regards extérieurs, derrière des baies vitrées passées à la peinture blanche. Photographiés en gros plans et en plans rapprochés. Des torses, des membres, des visages. Des brûlures et des plaies par balles. En tout, quatre-vingt neuf images assorties des observations des légistes. Difficiles à regarder. Impossibles à montrer. Vous ne verrez donc pas CE QUE J’AI VU. Sur ce point, il faudra me croire sur parole.

Ces documents inédits, il fallait d’abord en établir l’authenticité, même si elle ne faisait guère de doute. Ils semblaient tout droit sortis du dossier judiciaire. Ma première et démarche a donc consisté à rencontrer le chef de file des avocats des Kanak inculpés des homicides et de la prise d’otages de Fayaoué, Me Michel Tubiana, futur président de la Ligue des Droits de l’Homme, qui avait – non sans mal – eu accès au dossier.

Les faits, tous les faits survenus en avril-mai 1988 à Ouvéa étaient couverts par les lois d’amnistie adoptées en novembre 1988 et janvier 1990 sous le gouvernement de Michel Rocard. Aucune des pièces que je détenais n’était de nature à nuire à ses clients. Et cependant Me Tubiana a clairement fait savoir qu’il attaquerait en justice l’hebdomadaire qui m’employait si une seule des images tombées en ma possession devait être publiée ! Cette attitude a eu un effet dissuasif. Elle a stoppé net l’enquête que j’avais tout juste amorcée.

Des vérités qui dérangent

Presque vingt ans après, je l’ai reprise là où je l’avais abandonnée. Parce qu’une fiction, L’Ordre et la Morale, le film de Mathieu Kassovitz sorti en salles en novembre 2011, a rallumé en Nouvelle-Calédonie des feux mal éteints et relancé la polémique. Sur les circonstances dans lesquelles vingt-cinq hommes3 ont trouvé la mort. Et sur le bien-fondé d’une action militaire inédite depuis la fin de la guerre d’Algérie : l’engagement de l’Armée sur une partie du territoire national afin d’y combattre des Français.

Il y a des vérités qui dérangent, qui ébranlent les convictions, bousculent les certitudes. Il est des mensonges qui rassurent, qui procurent un certain confort, intellectuel ou moral, qui mettent à l’abri du doute. J’ai entrepris de rechercher des vérités soigneusement dissimulées, de dissiper des doutes bien entretenus et de dénoncer des mensonges solidement établis.

En France, le droit de savoir et le droit à l’Histoire se heurtent à un mur. La Direction du Patrimoine, gardienne des archives judiciaires, et le Service historique des Armées, détenteur d’un fonds privé contenant certains éléments du dossier, ont tous deux rejeté mes demandes de consultation de leurs dossiers. Au nom de la Loi et en vertu du «respect de la vie privée» et du «Secret défense», deux obstacles quasiment infranchissables. LA vérité sur Ouvéa n’est donc pas pour demain. Mais, témoignage après témoignage et d’anecdote en confidence, je me suis efforcé de l’approcher.

LIRE L'ENQUETE DE JEAN-GUY GOURSON

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Créateur le 18 octobre 2006 du blog Calédosphère, Franck Thériaux est papa à temps plein d'une petite fille née le 1er Juin 2012. Selon son entourage, il passe beaucoup trop de temps sur internet… Membre émérite de la rédaction, il vit aujourd'hui en métropole après 23 belles années passées sur le Caillou. Il est en contact quotidien avec l’équipe et continue à participer à la vie de son « bébé numérique »
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zoreil coupé
Un peu de respect tout de même pour la mémoire des gendarmes qui ont été pris en traitres alors que les kanaks leurs rendaient au départ une visite de “courtoisie” (Témoignages de deux amis gendarmes qui étaient en poste à Ouvéa à l’époque)Certains ont aussi de vrais témoignages,  : attaque surprise de la gendarmerie, gendarmes aux membres amputés par des coups de machettes et des femmes violentées. On était en plaine barbarie sauvage sur fond de haine du blanc, comme elle existe toujours aujourd’hui d’ailleurs et sans doute plus exacerbée par tout ce qui leur est “excusé” et accepté :… Read more »
jggourson

Je respecte tout autant que vous la mémoire des gendarmes de Fayaoué et le chagrin de leurs proches. Mais si vous aviez pris la peine de me lire – et de préférence en procédant par le commencement  –  avant de poster ce commentaire méprisant pour la population Kanak, vous auriez pu constater que les gendarmes n’ont pas été découpés à la machette ni leurs épouses violentées. Vous propagez une fois de plus une rumeur imbécile. Celle-là même qui m’a incité à publier cette enquête.

NoComment

Des gens tuent des gendarmes au couteau et sabre, puis prennent des otages sur un territoire français dans un entre deux tour présidentiel.  Honnêtement, vous croyez quoi? le reste c’est de l’histoire, un mec tué par un fusil d’assault n’a jamais remplacé la chirurgie esthétique. 

nam

“Honnêtement vous croyez quoi ?” ainsi parle No comment, ben je compte sur son honnêtetépour qu’il nous explique lui ses croyances.

NoComment

on fait en aucun référence aux croyances mais à une situation particulière et politique ici qui a coïncidé avec un événement politique majeur en France (chez toi quoi… 🙂 )) c’est tout.

nam

Nocomment, vachement intéressant ta réponse, cela dit ton premier commentaire apparaissait plus rempli, mais bon t’aurais pu te contenter sur ce coup là d’un no comment plutôt que de fairedu remplissage et écrire pour rien dire.”… un événement politique majeur en France, chez toi quoi “Heu il me parait difficile de me sentir chez moi chez toi, c’est pas une raison pour te sentir chez moi, chez toi hein ?Mais non je plaisante bien sûr …..

中国娘

Les vieillards vivent dans le passé ; les jeunes dans l’avenir ; l’homme mûr et sage dans le présent.

Janloupe Pahune

Un sens aigu de l’équité… Pas un mot pour les gendarmes découpés à la hache par des sauvages…

nam
Comme je ne suis pas sûr de la 3éme partie je vais donc en rajouter une couche pour mes lecteurs préférésavec bien sûr quelques modifications.Concernant le contexte je rappellerai rapidement la situation politique le statut Pons refusé par le Flnks(découpage des régions) et l’acquittement des assassins de Tiendanite, concernant le contexte d’Ouvéa, après l’attaque de la brigade les 27 otages ont été séparés en 2 groupe, le 1er est parti dans le sud de l’île à Mouli, oùles otages ont été libérés sur la demande des vieux, et lele 2éme groupe donc à Gossanah, où sont intervenus les différents corps… Read more »
Ferme-la
“certains n’auront pas hésiter à menacer, torturé, frapper enfants, jeunes, vieux, femmes pour obtenir des aveux, ce qui fait àl’arrivée toute une population traumatisé” Il est vrai que ces aveux auraient pu être obtenus d’une autre manière comme, par exemple, une dénonciation anonyme du lieu par une personne sensé qui se serait dit “Les frères font les cons et ne s’en sortiront pas tous vivants de ce bourbier face à une armée. Et si je peux éviter que les membres de mon clan se fassent mal traités alors je dénonce.” Pour ce qui est de votre exemple sur un braquage : un… Read more »
nam

Ah bon ? le pire c’est que tu as l’impression d’y croire à ton délire. Je te laisse à ta connerie.

Samael

Petite rectification concernant Tiendanite, les gens morts après l’embuscade étaient à l’origine venus pour tuer leurs assaillants. Encore une fois il est important de rappeler les faits et ne pas en faire une interprétation personnelle, et encore moins colporter des ragots.

nam
Cher Samael, voyez vous il n’y a pas besoin de dire des proposdésobligeants (des gros mots quoi) pour insulter, il suffit pour cela que certaines personnes se croient tout permis en prenant les autres pour des cons parce que ne répondant pas et n’argumentantsur ce qu’ils prétendent, la colère n”étant que passagère je peux vous assurer de mon soutien pour une discussion entre personnesbien élevés et civilisés, si je vous ai blessé, je m’en excuse par ailleurs,mais j’aimerai quand même moi et d’autres que vous puissiez m’éclairer quand à vos dire, au risque de vous faire passer pour une petite… Read more »
nam

Nogugus l’éclairé c’est quoi le rapport avec le mensonge colporté par Samael dit la petite m**** ? Tu veux faire ton malin, ton intéressantpas de ‘blémes mon gars.

Nogius

Je vous trouve bien agressif, vous avez été piqué au vif sans doute.Faire mon malin moi ? non, … juste rappeler quelques faits qui vous rendent nerveux.

nam
samael petite m****, c’est ça ta version, les faits rien que les faits, tu peux faire ton malin derrière ton clavier, je ne vais pas te lâcher,Pour ceux et celles qui veulent un peu savoir c’est en revenant d’une réunion du comité flnks au village pour décider de la levée des barrages dans le Pays, que les familles ont été massacrés. Il y en a eu 7 qui se sont rendus, mais en réalité “ils” étaient 17 (tous ont été reconnus ) dont une femme dont je tairais le nom, qui a aidé à achever les blessés qui ne pouvaient… Read more »
Samael

Tu as réédité ton commentaire, c’est mieux… Au passage tes mots doux tu les garde pour toi quand tu es devant ta glace. Pour le reste je n’échangerai rien de plus avec quelqu’un d’insultant et de violent.

nam
Samael pour ton information  pauvre mec, c’est en revenant d’une réunion au village pour la levée des barrages, que les gens de la tribu ont été massacrés non pas par les 7 qui se sont constitués prisonniers, mais par 16 personnesqui ont toutes été reconnues à ce moment làpar non seulement les gens de Tiendanite, mais aussi du village, bref de la commune.Parmi ces 16 personnes, une femme a contribué à achever les blessés avec d’autres, qu’est ce que vous croyez tout le monde connait l’histoire sauf toi et l’autre Nogogol qui parle de métissage on se demande bien pourquoi,… Read more »
Nogius

nam, si vous ne saviez pas que Tjibaou était métissé, c’est que vous n’êtes pas le fin connaisseur que vous prétendez être, ce qui justifie encore moins votre dénigrement de mon pseudo.Oui, métissé, comme beaucoup là-haut, est-ce une vérité qui vous dérange et que vous refoulez ?Vous voulez que je continue la liste des métissés célèbres ?

nam

Rien que ça prouve le  que tu dis, donne un peu tes sources, parce que mon gars tu fais un gros mensonge, ou tu le colportes et c’est la mêmechose !

nam

HE DUCONNOGIUS, y a pas à dire t’es un bondans ton domaine, une espèce en voie de disparition, un Duconnogius quoi !Un duconnogius a du mal à comprendre ce qu’il lit et il aime bien réinterprétez ce qu’on dit àsa manière et se lancer dans un délire où il mélange tout et n’importe quoi si bien queparfois on le surnomme Ducongogol.

Samael

Toutes les vérités ne sont pas bonnes à entendre nam. Cependant ça reste les faits, rien que les faits.

Nogius

Dites-moi nam,dire que les tueurs de Tiendanite ne sont pas des Blancs mais des métisses kanak qui ont réglé leurs comptes perso, c’est colporter un mensonge ? D’ailleurs, qui n’est pas métisse dans ces belles contrées, hein ? 

nam
Suite, Quand on voie le déferlement de commentairespleins de haine et de rancune sur ce blog sur ce que l’on doit appeler des témoignages supplémentaires mais pas nouveaux, sur l’exécution de certains ravisseurs on est en droit de se demander qui peuvent être donc ces gens qui veulent absolument dédouaner l’armée française, mais somme toute ça n’a pas d’importance l’Histoire jugera eta déjà commencé et vous pourrez dire tout ce que vous voulez ça n’est pas en faveur de l’état français et son armée.Cela dit y en a qui dans leur aveuglement comme M. eric vont jusqu’a prendre comme exemple … Read more »
nam
Ben dites donc y en a qui manque pas d’air dans leurs commentaires, bon ben comme le sujet sur Gossanahreste récurrent mais que certains ne veulent rien entendre parce qu’ils ne veulent pas écouter, alors je vais répéter pour les sourds.A une époque nous avons entendu sur ce blog et un autre blog les témoignages de certains soldats, gendarmes  et les familles sur l’attaque de la brigadede Fayaoue, des témoignages poignants, sincèrespleins d’amertumes pour certains, pleins de tristessed’incompréhension, de traumatisme pour la plupart.Depuis les familles des gendarmes assassinés et les familles des morts d’Iaii  se sont réunis pour pleurer ensemble… Read more »
Ferme-la
En fait, marco aurait peut être préféré que dianou soit soigné comme un citoyen lambda, amnistié comme les autres, qu’il soit encore là aujourd’hui à cracher sur la France comme d’autres et peut être même préparer un nouvel attentat et une prise d’otage avec plus de recul ? Etrangement et contrairement à des Ataï, Machoro… il n’est pas représenté comme un martyr ou encore un héro Kanak, pas d’autocollant, de T-shirt à son effigie, pas de cérémonies… Il est possible que l’Etat Français aurait, de façon honteuse pour certain ou ferme pour d’autre, montré ce qui l’en coutait de s’en prendre à… Read more »
Samael

A la guerre comme à la guerre comme dirait l’autre. Il se faut pas s’attendre à tomber sur des tendres quand on a à faire aux troupes d’élites de l’armée française. Surtout que les kanak d’Ouvéa n’ont pas eu trop de pitié pour leur victimes, découpées à l’arme blanche…

Marco

La limite de cette façon de penser “oeil pour oeil, dent pour dent”, ils sont morts, bien faits pour eux, à la méthode bourrin calédonienne c’est que ça limite la réflexion. Pas un pour se dire que si ça a eu lieux, peut-être que l’armée n’a pas agit par vengeance comme suggeré dans l’article mais sur ordre. Et se demander à qui profiterait le crime à se moment là? Mitterrand, en pleine élection présidentielle? Tchibaou, Lafleur, …. ça jouera de mauvais tours aux calédoniens dans le futur ce manque d’imagination et de recul.

Mister Eric

La limite de cette façon de penser « oeil pour oeil, dent pour dent »
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Pourtant j’ai le souvenir que “oeil pour oeil, dent pour dent” c’était ta façon de penser et ta ligne argumentaire, dans d’autres conversations, d’autres contextes…

Tout cela ne dépend que de qui tu soutiens, hein, Allah Ouakbar !

J’imagine déjà ta réponse : tu feras celui qui ne comprend pas…

Marco

Oui en effet je ne vois pas de quoi tu parles mais j’attends que tu me rafraichisses la mémoire. 

Samael

ps : en général les Calédoniens vivent très bien avec leur passé, mais il y a toujours des ” étrangers ” pour venir remuer le couteau ( pour rester poli ) Et ça fait maintenant 26 ans que nous vivons avec ça, si mauvais tour il devait y avoir, ça ferait longtemps qu’il se serait joué…

Samael

Ce n’était en aucun cas une attaque personnelle.

Marco

Je suis calédonien donc pas besoin de me faire le refrain, je connais et je sais de quoi je parle. Je sais ce que c’est les événements, ma famille les a subit et pas planqué à Nouméa.

Samael

Et puis bon comme cela a été déjà dit, si on s’intéresse à l’histoire de la Nouvelle Calédonie il faut prendre en considération toutes les composantes, pas seulement celles qui nous paraissent la plus exploitable au niveau médiatique. Parce que les morts d’Ouvéa, gendarmes et kanak ne sont pas les seules victimes de cette guerre civile.

Samael

Désolé Marco, il ne faut pas tout mélanger, les bourrins dans l’histoires ça été les preneurs d’otages et les militaires en question, surement pas les Calédoniens. Concernant les dessous de l’histoire, je pense que si chacun avait su mettre de l’eau dans son vin, on en parlerait même pas, malheureusement il en est autrement.Mais personnellement ma pensée va aux familles des gendarmes, morts dans l’exercice de leur fonction.

Marco

Très bien mais je maintiens, ça vous jouera des tours de ne pas analyser profondément les choses et de vous contenter de réponses superficielles voir d’aucune réponse.

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