Comme disait Ghandi: « On Reconnait la Grandeur d’une Nation par la Façon dont elle Traite ses Animaux » et on ne peut pas dire qu’en Nouvelle-Calédonie, cette « règle » s’applique. Quand je mets le mot règle entre guillemet çà veut bien sur dire qu’on n’est pas obliger de respecter les animaux vu que nous sommes biens plus forts et plus supérieurs qu’eux mais s’il vous plait, quand vous martyrisez un animal, faites en sorte qu’il ne souffre pas, ne le laissez pas dans un état comateux proche de la mort comme vous avez laissé ce chat bande de « loques humaines ». Les sévices sur les animaux en Nouvelle-Calédonie sont choses courantes, qu’on soit chien, chat, cheval, âne ou daguet, etc… tout y passe, et ni rien ni personne n’est respecté, voir souffrir un être vivant (même un animal) peut même parfois devenir jouissif pour ces enculés de première, ces sauvages d’un autre monde…. Je vomis et j’encule à sec ces personnes, mon vocabulaire peu courtois exprime le plus grand de mes désarrois quand je vois qu’on est capable de laisser un animal dans cet état (voir photo ci-dessus). Quand on sait que dans le monde Kanak on est persuadé que même un arbre ou une plante vie, je n’ose imaginer qu’on pense le contraire quand il s’agit d’un animal. Je ne vise pas la population mélanésienne dans ce billet, surtout quand je sais pertinemment que les chinois exterminent du chien pour faire de l’alimentaire ou encore les japonnais du requin pour servir de l’aileron aux bourgeois qui ne demandent que cà ! Non, il est question ici de respect de la vie et rien de plus… comment ne pas avoir pitié d’un animal qu’on laisse sur le bord d’un trottoir dans cet état, c’est affligeant !!!!
Enfin, je me permets de copier/coller cet article des Nouvelles Calédoniennes aujourd’hui car cet acte de barbarie ne doit en aucun cas rester impuni, il en va de la bonne cause et j’espère que M. Serre comprendra mon geste. Pour une fois que nous défendons une même cause, normal que nos forces soient unies…
Punissez ces furoncles de la société s’il vous plait Mme Claire Lanet (Procureur de la République), il en va de l’image de notre Pays. Je vous remercie…
Article des Nouvelles Calédoniennes ce jour: Depuis deux jours, le cas d’un chat éborgné avec la mâchoire fracturée, découvert au collège de Koutio, a mis en émoi élèves et enseignants, qui se sont mobilisés pour faire soigner le félin. Et tenter de retrouver le ou les coupables de cet acte de cruauté.
Aujourd’hui, le chat est sauvé, même s’il a perdu son œil droit. C’est l’époque des révisions du brevet, mais depuis deux jours, certains élèves du collège de Koutio ont aussi d’autres préoccupations en tête : sauver un chat. C’est chose faite depuis avant-hier, même si le félin ne verra plus que d’un seul œil et qu’il aura sans doute quelques soucis pour manger sa pâtée, puisque sa mâchoire est fendue en deux. L’histoire accompagnée des photos du chat en question a rapidement fait le tour des mails et des réseaux sociaux, hier. Elle débute il y a deux jours de cela, lorsque les élèves découvrent un chat à l’œil droit pendant et sanguinolent, sorti de son orbite, sur le parking des vélos. Deux collégiennes ont alors donné l’alerte.
Choqués. « Les profs et les élèves qui ont vu ce chat dans un état déplorable ont été choqués par cette histoire », indiquait hier Danielle Folliard, principale adjointe de l’établissement. Elle a par ailleurs précisé que la professeur d’anglais a payé de sa poche l’opération pratiquée dans une clinique vétérinaire, où le chat a été admis et où les photos du félin ont été prises. Certaines, qui circulent sur le Net depuis hier, sont particulièrement choquantes. On y voit l’œil ensanglanté de l’animal complètement sorti de sa tête.
Malades. Les deux jeunes collégiennes qui ont découvert le chat sont « tombées malades au sens propre », poursuit la principale adjointe. Et ce que tout le monde semble, pour l’heure, attribuer à un acte de barbarie – en tout cas pas à une collision avec une voiture – a fait l’objet d’une enquête au sein de l’établissement scolaire. Hier, la clinique vétérinaire, où le chat a été admis, a assuré que des témoins avaient vu « trois jeunes donner des coups de pied au chat ».
Enquête. « Une douzaine de jeunes ont été entendus par les membres de la vie scolaire, poursuit ainsi Danielle Folliard, mais la confrontation de ces témoignages n’a pas permis de déterminer si un ou plusieurs élèves du collège ont commis ces violences sur ce chat. Peut-être aussi qu’il a été massacré à l’extérieur de l’enceinte du collège et qu’il y a trouvé refuge. » L’indignation et l’émoi suscités par l’état de ce chat ont été relayés par les associations de défense des animaux, qui auraient l’intention de déposer une plainte contre X auprès de la gendarmerie.
