Non, c’était le système normal : un jeune chevalier sans terres ne pouvait espérer que deux choses, recevoir un fief de son seigneur (pour bons zé loyaux services, s’il ne se faisait pas couper en tranches à la guerre avant) ou épouser une héritière de fief (plus rapide, en principe). Un chevalier “fieffé” devait le service militaire à son seigneur, et des impôts divers. Mais cela lui permettait de s’établir : il avait un château (ou une maison plus ou moins fortifiée) et des terres, la possibilité d’avoir une famille et des revenus fonciers … pour financer sa participation aux… Read more »
Je préfère la définition mathématiques du mariage : c’est la somme des emmerdes, la soustraction des libertés, la multiplication des responsabilités et la division des biens.
Grâce à George Duby, nous apprenons que les hommes ( les chevaliers) peuvent aussi être vénaux !
ou encore :
La somme des produits (enfants) = la multiplication des emmerdes = la soustraction des biens = la division des plaisirs
mince alors…………on m’aurait menti ???
Oui, mais çà peut aussi être :
La somme des produits (enfants)
La soustraction de la solitude
La multiplication des plaisirs
La division des problèmes
Je préfère la définition mathématiques du mariage : c’est la somme des emmerdes, la soustraction des libertés, la multiplication des responsabilités et la division des biens.