Une visite du gouverneur de la banque de France en Nouvelle-Calédonie est un fait rarissime et important. Christian Noyer va présider à Nouméa le Conseil de surveillance de l’IEOM. Il en profite pour donner son sentiment sur l’économie calédonienne.
Et ce que va dire Christian Noyer devrait être entendu, c’est en tout cas ce qu’il faut espérer, par les opérateurs économiques et sociaux calédoniens. Habitué à évoluer dans les économies sinistrées françaises et européennes, le patron de la BdeF ne cache pas combien la Nouvelle-Calédonie est florissante. Il le répète à tous ses interlocuteurs institutionnels, mais également publiquement ainsi à nos confrères des Nouvelles Calédoniens à qui il a accordé une interview. « La Nouvelle-Calédonie, déclare ainsi Christian Noyer, continue de faire figure d’exception dans l’outre-mer français. Avec un taux de croissance aux alentours de 3 % par an, elle a plutôt bien traversé la crise qui sévit au plan mondial depuis cinq ans ». Tout en reconnaissant que le niveau des investissements a baissé en Nouvelle-Calédonie ces deux dernières années, le gouverneur de la Banque de France a le mérite de rappeler quelques fondamentaux comme le fait que la Calédonie bénéficie d’une économie dynamique, prospère et avec des perspectives. Cela atténue d’autant les récriminations que l’on peut entendre ici ou là, de la part des syndicats certes, mais surtout des organisations patronales, en particulier de celle du BTP.
Crise? Quelle crise?
Les propos des gouverneurs sont souvent convenus. Ce n’est parce qu’on ne dit rien que tout vabien. On verra à l’université jeudi à 18h00 à l’amphi 400. L’Etat continuant allègrement les déficits publics qui dérapent fortement malgré la prétendue rigueur, il ne se passe rien. C’est normal. C’est qnd on débranche le malade qu’on sait s’il vit encore…
Et si l’université prenait elle aussi ses responsabilités quant à une utilisation judicieuse des deniers publics?
On évitera bien entendu de faire le ratio budget de fonctionnement et nombre d’étudiants diplômés tellement c’est calamiteux…
Un étudiant calédonien coût 3 fois plus cher qu’un étudiant en métropole, y’a en effet un blèm surtout quand l’UNC est classée comme la fac la plus nulle de France.
Pense quoi Mathias?
la bonne question est pourquoi faut il une université en calédonie?
ça coûterait moins cher d’aider des candidats sous forme de bourse ou de prêts pour qu’ils étudient enFrance voir en Australie dans certains cas
ça changerait aussi les mentalités A part quelque formations courtes spécifiques au pays type mine s;il n’ y a pas de raison particulière à avoir une université si coûteuse pour d’aussi mauvais résultats