Diffusée lundi soir sur la deuxième chaine du service public italien, la RAI, cette vidéo de quelques dizaines de secondes montre des survivants du naufrage de Lampedusa, brutalement désinfectés de la gale par les services du centre d’accueil. Des corps nus, debout, dehors, en plein hiver, aspergés sans ménagement au tuyau et qui se voient balancer des vêtements avec désinvolture.
Un témoin qui a tout filmé dira même « que c’était comme les juifs dans les films sur les camps de concentration ».
La maire de l’ile de Lampedusa, a comparé la structure à « un camp de concentration ». La commissaire européenne aux affaires intérieures Cecilia Malmstrom qui a commenté la vidéo en parlant de ces images comme épouvantables et inacceptables a menacé Rome de sanctions.
L’administrateur de la coopérative gérant depuis cinq ans la structure d’accueil de Lampedusa, Cono Galipo, s’est lui défendu en expliquant qu’il fallait remettre ces images dans leurs contextes, pour lui les réfugiés ont clairement mis en scène ces images.
Le gouvernement italien par la voix du président du conseil, Enrico Letta, a promis de faire toute la lumière sur cette affaire et que des sanctions seront appliquées contre les responsables. Première noire dans un gouvernement Italien, Cecile Kyenge, ministre de l’intégration, a jugé que « obliger une personne à se dénuder de la sorte est inhumain ».
personne les a obligés a venir a Lampedusa et les italiens n’ont pas a rougir de se qu’ils font ,il ne faut pas oublier que ces immigrés sont nourri soigné et j’en passe ,ils sont toujours mieux en Italie que chez eux ,puisque ils ont choisi d’y venir !!!!
Stronzo
Commentaire stupide, méchant et preuve d’une profonde inculture qui mérite que l’on manifeste notre désapprobation. Car celui qui le lit et se tait, conscent d’une certaine manière à la propagation de ces idées nauséabondes.
abruti fini …….ou pas tout a fait.
Stai zitto.
Cette vidéo de migration en dit plus sur l’état de la planète libérale et décomplexée que n’importe quel bla bla politique officiel à Bruxelles ou à l’ONU…
(Additionné aux guerres de fanatismes, à la faillite de l’économie dérèglementée et aux catastrophes environnementales, on est revenu à l’état du monde des années 30…en pire !)