Quand la faucheuse me nargue

Euh ! suis confu, une fois de plus? je n’ai eu qu’un carton jaune. C’est vrai que j’étais un minimum responsable. J’ai vu tout en noir l’espace de trois heures pleines. Cette image ci-dessous explique donc surement mon état d’esprit au moment des faits. Que dire, je ne sais plus… Le feuilleton à  l’eau de rose continu, la vie également… Plus de peur que de mal, et sur ce coup là , c’est moi qui ai mal déliré, à  n’en pas douter. Toutes mes excuses pour cette petite aparté sans grande importance. Je me demande encore aujourd’hui pourquoi j’y ai été si fort…

Rappel du billet du 22 Mars 2007: Trop c’est trop et je ne suis malheureusement qu’un être humain, j’ai aussi des sentiments, un coeur, une âme, bref comme la plupart des gens sur Terre. Quand la pression atteint son summum, il nous arrive d’en avoir assez de se battre inutilement, en essayant de rabibocher ce qui n’est pas rabibochable. Je ne sais pas si ces mots existent mais en tout cas c’est ce qu’on m’a fait comprendre ce midi. Point à  la ligne… Rien ne va plus mais j’ai une fille… que la faucheuse aille au diable, il est temps pour moi de me reveiller et d’ouvrir les yeux. J’y ai cru une nouvelle fois, mais en vain. La lacheté est un vilain défaut, je reste vaillant mais le coeur triste. L’avenir nous diras si j’ai pu me relever après les péripéties de ces 9 derniers mois. La vie n’est pas un long fleuve tranquille, mais plutôt un rapide incontrolable. Suis si triste…