LA PAROLEÂ
Un sujet bien intéressant qui ravira tous ceux qui sont en quête d’amélioration de leur image professionnelle. Stephanie Whittaker énonce quelques conseils que je vous retranscris et qui pourront améliorer l’image professionnelle d’une personne. Comme nous sommes, dans bien des situations professionnelles, notre premier outil de travail et celui qui laisse la plus profonde impression à nos patrons, collègues et clients, il importe de maîtriser l’art de bien gérer l’image que nous communiquons aux autres et ces conseils peuvent nous aider dans cette tâche. Aujourd’hui, n°1 “La Parole” avant d’aborder demain “L’apparence” et mercredi “Les Bonnes manières”.
* Ne parlez pas trop rapidement. Beaucoup de personnes parlent trop rapidement, soit par excès d’enthousiasme ou de nervosité. Il est important, si l’on veut faire une bonne impression, de parler plus lentement. Ce conseil est particulièrement important lorsque nous passons une entrevue de sélection ou lorsque nous rencontrons une personne pour la première fois, deux situations o๠la nervosité et l’enthousiasme peuvent contribuer à accélérer notre débit sans que nous en prenions conscience. Apprenez à utiliser le silence et les pauses dans votre débit pour marquer des points ou rechercher l’attention de votre partenaire de communication.
* à‰vitez de «jargonner». L’utilisation de termes techniques et de mots savants n’est jamais très efficace pour impressionner les autres. L’usage d’un jargon a plutôt l’effet contraire, c’est-à -dire que nous passons pour quelqu’un qui cherche à faire l’étalage de ses connaissances et nous réussissons essentiellement à éloigner l’autre. Nous créons donc une distance entre la personne avec qui nous communiquons et nous-même. Il faut toutefois éviter de tomber dans le versant opposé et utiliser des termes trop familiers ou du langage de rue. L’utilisation d’une langue correcte et accessible est toujours une stratégie efficace.
* Surveillez la hauteur de votre ton. La communication interpersonnelle s’effectue à travers trois dimensions : le verbal, le non-verbal et le… paraverbal. Dimension moins connue de la communication interpersonnelle, le paraverbal regroupe plusieurs caractéristiques de la voix dont le ton et sa hauteur, le débit, le rythme, la cadence et les silences. Beaucoup de femmes parlent sur un ton de voix très élevé (ex. : soprano), ce qui amène les personnes de leur entourage à ne pas les prendre au sérieux. Il est important, dans des situations de communication persuasive, de faire baisser la hauteur de son ton de voix. Une voix haute et aigà¼e trahit de l’énervement et de l’excitation alors qu’une voix basse et posée communique du calme et de l’assurance. Cela peut demander un peu de pratique, mais en général, il est possible de faire descendre le ton de sa voix d’un demi octave.
* Contrôlez le volume de votre voix. Les hommes ont tendance à augmenter le volume de leur voix lorsqu’il veulent convaincre ou influencer l’autre. Une personne qui parle fort peut être perçue par les autres comme une personne qui crie et une personne qui crie n’est jamais agréable. Il faut donc surveiller le volume de notre voix.
* Attention aux expressions vides. Les «euh!», «tu sais», «biennnn!», «aaaahhh» et autres expressions de ce genre meublent souvent notre langue parlée. Ils sont utilisés comme liens, comme moments de réflexion ou comme témoins de notre hésitation ou de notre embêtement. La première étape consiste à les identifier et la meilleure façon de le faire est de demander à une personne de nous enregistrer lorsque nous parlons (une conférence, une conversation téléphonique). Ou encore, laissez-vous un long message sur votre répondeur. Vous verrez apparaître ces expressions vides que nous utilisons pour combler les «vides» de notre pensée et de notre communication. Il faut ensuite travailler à les remplacer par… des silences.
* Attention à votre langage. Il existe, pour la plupart des milieux de travail une certaine tenue vestimentaire. Mais il existe aussi un certain niveau de langage. On ne parle pas à un client comme on parle à un ami ou à un membre de sa famille. Commencez toujours par vouvoyer une personne dans un contexte de travail. Si votre relation de travail vous le permet et que votre protagoniste vous invite à le faire, vous pouvez progressivement utiliser une appellation plus familière. Mais même si vous tutoyer un collègue de travail, restez toujours respectueux et courtois. Utilisez toujours une langue correcte, évitez les expressions grossières et n’utilisez jamais de jurons dans un contexte de travail. Lorsque vous vous adressez à une femme dans un contexte de travail, et même si cette personne est jeune, utilisez Madame de préférence à Mademoiselle. Le terme Madame est neutre et peut s’utiliser avec une jeune adulte sans risquer de l’offenser.
* à‰vitez de «jargonner». L’utilisation de termes techniques et de mots savants n’est jamais très efficace pour impressionner les autres. L’usage d’un jargon a plutôt l’effet contraire, c’est-à -dire que nous passons pour quelqu’un qui cherche à faire l’étalage de ses connaissances et nous réussissons essentiellement à éloigner l’autre. Nous créons donc une distance entre la personne avec qui nous communiquons et nous-même. Il faut toutefois éviter de tomber dans le versant opposé et utiliser des termes trop familiers ou du langage de rue. L’utilisation d’une langue correcte et accessible est toujours une stratégie efficace.
* Surveillez la hauteur de votre ton. La communication interpersonnelle s’effectue à travers trois dimensions : le verbal, le non-verbal et le… paraverbal. Dimension moins connue de la communication interpersonnelle, le paraverbal regroupe plusieurs caractéristiques de la voix dont le ton et sa hauteur, le débit, le rythme, la cadence et les silences. Beaucoup de femmes parlent sur un ton de voix très élevé (ex. : soprano), ce qui amène les personnes de leur entourage à ne pas les prendre au sérieux. Il est important, dans des situations de communication persuasive, de faire baisser la hauteur de son ton de voix. Une voix haute et aigà¼e trahit de l’énervement et de l’excitation alors qu’une voix basse et posée communique du calme et de l’assurance. Cela peut demander un peu de pratique, mais en général, il est possible de faire descendre le ton de sa voix d’un demi octave.
* Contrôlez le volume de votre voix. Les hommes ont tendance à augmenter le volume de leur voix lorsqu’il veulent convaincre ou influencer l’autre. Une personne qui parle fort peut être perçue par les autres comme une personne qui crie et une personne qui crie n’est jamais agréable. Il faut donc surveiller le volume de notre voix.
* Attention aux expressions vides. Les «euh!», «tu sais», «biennnn!», «aaaahhh» et autres expressions de ce genre meublent souvent notre langue parlée. Ils sont utilisés comme liens, comme moments de réflexion ou comme témoins de notre hésitation ou de notre embêtement. La première étape consiste à les identifier et la meilleure façon de le faire est de demander à une personne de nous enregistrer lorsque nous parlons (une conférence, une conversation téléphonique). Ou encore, laissez-vous un long message sur votre répondeur. Vous verrez apparaître ces expressions vides que nous utilisons pour combler les «vides» de notre pensée et de notre communication. Il faut ensuite travailler à les remplacer par… des silences.
* Attention à votre langage. Il existe, pour la plupart des milieux de travail une certaine tenue vestimentaire. Mais il existe aussi un certain niveau de langage. On ne parle pas à un client comme on parle à un ami ou à un membre de sa famille. Commencez toujours par vouvoyer une personne dans un contexte de travail. Si votre relation de travail vous le permet et que votre protagoniste vous invite à le faire, vous pouvez progressivement utiliser une appellation plus familière. Mais même si vous tutoyer un collègue de travail, restez toujours respectueux et courtois. Utilisez toujours une langue correcte, évitez les expressions grossières et n’utilisez jamais de jurons dans un contexte de travail. Lorsque vous vous adressez à une femme dans un contexte de travail, et même si cette personne est jeune, utilisez Madame de préférence à Mademoiselle. Le terme Madame est neutre et peut s’utiliser avec une jeune adulte sans risquer de l’offenser.
Comment faire profiter de ses bons conseils à mon supérieur hiérarchique sans encore une foi me faire incendier sans raison ? Chez lui la communication n’est vraiment pas son fort 🙁