L’avènement de l’agriculture a catalysé la transformation de la condition humaine d’une vie de chasseur-cueilleur à celle d’un citoyen mondial. La population, elle aussi, a grandi jusqu’à arriver à environ 6,4 milliards d’êtres humains. Plus de 800 millions d’hectares (c’est-à -dire presque 38% de la surface de la Terre) sont consacrés à la production des récoltes pour soutenir cette population encore grandissante.
L’agriculture a radicalement transformé la surface de la Terre, remplaçant des écosystèmes fonctionnels avec des champs cultivés et des animaux domestiques. Indéniablement, un approvisionnement alimentaire fiable a permis l’évolution des sociétés culturellement fortes. Ironiquement, l’agriculture a créé un nombre de nouveaux problèmes particuliers à la production alimentaire, et en plus elle a aggravé des problèmes déjà existants. L’exposition à des niveaux toxiques des produits agrochimiques (pesticides, fongicides) et à une pléthore de blessures est une partie intégrale du labour et de la récolte, et cà¦tera.
La grippe, la rage, la fièvre jaune, la fièvre de dengue, la malaria, la leishmaniose, et toute une gamme de géohelminthiases est fréquemment transmise aux interfaces agricoles subtropicales et tropicales. Les infections émergentes, parmi lesquelles beaucoup sont des zoonoses virales (l’Ebola, la fièvre de Lassa, par exemple), ont adapté à l’être humain, à la suite de notre invasion de leur environnement. Dans les 50 années suivantes, on estime que la population humaine dépassera 8,3 milliards. Nourrir ces nouveaux arrivés requerra 109 hectares de terre cultivée; terre qui n’existe pas. D’autres solutions au problème de l’alimentation doivent êtres trouvés si nous voulons éliminer la faim et la pauvreté. Lire la suite de ce projet exceptionnel
L’agriculture a radicalement transformé la surface de la Terre, remplaçant des écosystèmes fonctionnels avec des champs cultivés et des animaux domestiques. Indéniablement, un approvisionnement alimentaire fiable a permis l’évolution des sociétés culturellement fortes. Ironiquement, l’agriculture a créé un nombre de nouveaux problèmes particuliers à la production alimentaire, et en plus elle a aggravé des problèmes déjà existants. L’exposition à des niveaux toxiques des produits agrochimiques (pesticides, fongicides) et à une pléthore de blessures est une partie intégrale du labour et de la récolte, et cà¦tera.
La grippe, la rage, la fièvre jaune, la fièvre de dengue, la malaria, la leishmaniose, et toute une gamme de géohelminthiases est fréquemment transmise aux interfaces agricoles subtropicales et tropicales. Les infections émergentes, parmi lesquelles beaucoup sont des zoonoses virales (l’Ebola, la fièvre de Lassa, par exemple), ont adapté à l’être humain, à la suite de notre invasion de leur environnement. Dans les 50 années suivantes, on estime que la population humaine dépassera 8,3 milliards. Nourrir ces nouveaux arrivés requerra 109 hectares de terre cultivée; terre qui n’existe pas. D’autres solutions au problème de l’alimentation doivent êtres trouvés si nous voulons éliminer la faim et la pauvreté. Lire la suite de ce projet exceptionnel
Très intéressant ce projet si les plus démunis et affamés en bénéficient ! Mais là je reste septique !
Bises
TiteZa