Municipales 2008 en Nouvelle-Calédonie (n°2)

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Nouméa, c’est ma ville
Elle est menée par Jean-Raymond Postic du parti “Calédonie mon pays”, conseiller municipal sortant, élu en 2001 à  Nouméa. Cette liste est pluriethnique, représentative de la population nouméenne et le programme s’inscrit dans le cadre de l’accord de Nouméa, avec pour problématique centrale le développement du lien social”. Cette liste est suivie de prêt par un de ses colistier.
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Cette liste nous a affirmer être présente sur le TCHAT SPECIAL MUNICIPALES 2008 qui aura lieu je vous le rappelle Jeudi prochain. L’heure sera communiquée en cours de semaine prochaine en fonction des rendez-vous prit. En attendant, un document est visible ici, ils vous permettra d’en savoir plus sur cette liste. Mise à  Jour: 2 autres documents: Ici et Là 
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Créateur le 18 octobre 2006 du blog Calédosphère, Franck Thériaux est papa à temps plein d'une petite fille née le 1er Juin 2012. Selon son entourage, il passe beaucoup trop de temps sur internet… Membre émérite de la rédaction, il vit aujourd'hui en métropole après 23 belles années passées sur le Caillou. Il est en contact quotidien avec l’équipe et continue à participer à la vie de son « bébé numérique »
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denis
Tous les habitants de cette ville devraient pouvoir être fiers d’affirmer : “Nouméa, c’est ma ville !”, qu’ils viennent de Nouméa, de Lifou, de Wallis, de Paris ou du monde entier, qu’ils vivent dans un coin chic ou populaire. La politique de la liste est d’ouverture et de partage, elle propose par exemple à  tous les habitants des quartiers, organisés en associations, de pouvoir décider de l’utilisation d’une partie du budget municipal pour réaliser des projets locaux. Le “je” qui s’exprime dans l’intitulé de la liste exprime donc la responsabilité de chaque citoyen dans la gestion de la ville et… Read more »
michel

Je suis un peu surpris par le titre de la liste, Nouméa c’est MA ville. qui est le “moa” à  qui appartient la ville ? que reste-t’il pour les autres ? et l’idée de partage, qu’est-elle devenue ?

denis

En 1854, au moment de la fondation de Nouméa, la mangrove recouvrait une superficie bien plus grande qu’aujourd’hui.
En ce temps-là , le palétuvier représentait l’un des principaux obstacles au développement de la ville à  son extension, à  la civilisation urbaine. Aujourd’hui, le palétuvier et la mangrove sont sources de renouveau, à  la fois filtres naturels et pouponnières de vie.
Nous l’avons choisi pour emblème car il symbolise la permanence du pays Nouméa et le choix capital de faire de notre cité une ville moderne qui respecte la Nature.

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