De l’armée au sein de laquelle il a été commissaire de l’armée de terre, Edgar Pérez a gardé ce sens des décisions rapides, son adaptation au terrain et son sens des relations directes et franches. Autant de qualités mises à profit pendant les seize mois passés en tant que directeur de cabinet du préfet, Joël Filly, puis de Jean-François Delage. Mais voilà, l’appel de l’outre-mer a été le plus fort. Edgar Pérez va encore boucler ses valises pour devenir directeur de cabinet du haut-commissaire (l’équivalent du préfet) à Nouméa. Il a déjà rencontré son nouveau « patron », Albert Dupuy, à Paris. Il part très bientôt pour intégrer ses nouvelles fonctions en février. (source: http://www.lanouvellerepublique.fr)
” Edgar Pérez va ENCORE boucler ses valises ”
Aouhh!! trop dur pour lui, salaire indexé, logement de fonction, voiture de fonction, passe droit en tout genre
ya personne qui a un mouchoir que je verse une larme pour lui !!
T’as raison Popaul, c’est un geste d’une qualité rare…
Prendre de tels risques pour une poignée de trou du cul, c’est beau…
Quand on parle de vocation, en voilà un exemple parfait…!!!
On sait la bourde de Dupuy à Grenoble; c’est ce qui lui à valu d’être limogé dans un non lieu républicain: “chez nous”.
Et Monsieur Perez; pourquoi cette punition?
Quelqu’un sait-il ce qui lui vaut cette peine de mort administrative?
“L’appel de l’outre-mer a été le plus fort”, plus le bleu lagon du salaire, le soleil grisant de la prime et le doux alizé des avantages en nature ( maison, voiture de fonction, secrétaire rapprochée …
Net…
Son abnégation me laisse sans voix !
Quel homme courageux…
Mr Chassaing ne va pas me manquer. C’est dit !