Je ne vous explique pas le délire en ce moment en Normandie à l’heure ou je rédige ce billet. En effet, l’US Quevilly vient de battre Rennes en demi-finale de la coupe de France 2 à 1 grâce à un but venu de nulle part à une dizaine de secondes du coup de sifflet final. Le petit poucet de cette compétition évoluant en national ira affronter l’ogre Lyon en Finale au Stade de France s’il vous plait. Mon coeur continue de faire boum boum plus que jamais pour l’USQ car originaire de cette région (Le Grand-Quevilly) depuis ma tendre enfance, j’ai toujours suivis cette équipe même depuis Nouméa pendant plus de 25 ans. Je vis donc des moments footballistiques extraordinaires depuis quelques semaines étant de retour pour un moment ici à quelques kilomètres de Quevilly. Remarquez, cela se sentait, il y avait comme un parfum de victoire qui flottait dans l’air, comme une force invisible qui faisait de cette équipe un groupe invincible, rappelez-vous déjà l’exploit en quart de finale contre Marseille, terrassé par Quevilly 3 à 2 (a.p)… Bref, le bruit des klaxonnes envahit la ville, c’est un véritable exploit qu’on réalisé les joueurs de Régis Brouard, les quevillais et toute la Normandie sont surement très fiers de cette équipe qui saura j’en suis certain tenir la tête haute face à Lyon le 28 avril prochain au Stade de France. Pour ma part, la course au billet est lancée car j’irai à Paris voir mon équipe gagner le trophée tant convoité. BRAVO QUEVILLY !!!
Colombes. 8 mai 1927. L’US Quevilly s’incline en finale face à l’OM (3-0). Un rêve est passé mais une relation particulière est née entre le club normand et cette jolie jeune fille (ndlr : en 1927, ce n’est que la 10e édition de la Coupe de France). A intervalles réguliers, l’USQ reviendra courtiser la dame puis la grand-mère, s’inclinant par trois fois en demi-finale (1942, 1968, 2010). Cette fois, les Quevillais n’ont pas attendu très longtemps pour revenir dans les jupons de la vieille dame. Deux ans après leur courte défaite face à Paris (1-0), les revoilà à une marche du Stade de France. “Je ne sais pas ce qu’il y a entre la Coupe de France et ce club, affirme le défenseur Frédéric Weis, présent depuis 2008. Cela revient souvent donc ce n’est forcément pas un hasard. Il se passe un truc de bizarre, après comment l’expliquer…” “Il y a une étoile qui brille”, avance Michel Muret, président de 1987 à 2000 et l’un des grands artisans du renouveau du club, reparti du plus bas échelon amateur en 1978 après un dépôt de bilan, sur fond de désindustrialisation. (source)
Il me plait bien le jeune gay avec ses chaussures jaunes…
we are sorry but this video can’t be streamed in our country 🙂
vidéo modifiée TOTO
ambiance au coup de sifflet final