Le 29 novembre 2012, en signant les Accords Économiques et Sociaux sous la pression d’une intersyndicale et non de la rue, et sans le monde économique, le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie à montré les limites de l’autorité politique de ceux qui nous gouvernent et sont sensés faire marcher les institutions et accessoirement la loi…
Force est de constater qu’à la moindre embûche il paraît plus facile de céder…!!! Quel message pour les Calédoniens, quel message pour nos enfants…!!! On lâche tout au premier caprice un peu sérieux…
Toujours est-il qu’en ce jeudi 29 novembre 2012, les «masses laborieuses» ont pris possession des institutions, elles dirigent maintenant la politique et l’économie. C’est la naissance d’un nouvel État populaire, la République populaire de Nouvelle-Calédonie…
Vingt trois ans après la chute du mur de Berlin, la chute d’un système qui n’a jamais fonctionné, voilà qu’on tente à nouveau l’aventure…!!! A quand un jumelage avec la Corée du Nord, à quand des échanges scolaires avec la Chine et la Birmanie…
Ce samedi 1er décembre 2012, je lance un appel :
Les politiques qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des institutions Calédoniennes, ont formé un gouvernement collégial.
Ce gouvernement, alléguant la défaite de sa propre politique économique, s’est mis en rapport avec les syndicat pour cesser le combat.
Certes, nous sommes submergé par les difficultés économique locales, nationales, et internationales. Infiniment plus que les moyens économiques se sont les mauvais choix tactiques qui ont surpris nos politiques au point de les amener là ou ils en sont aujourd’hui.
Mais le dernier mots est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis, rien n’est perdu pour l’économie. Les moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car l’économie n’est pas vaine ! Elle n’est pas vaine ! Elle n’est pas vaine ! Elle a un vaste espoir derrière elle. Elle peut faire bloc avec les femmes et les hommes de bonne volonté. Notre isolement maritime n’est pas une fatalité et l’immense industrie des autres Pays doit être un nouveau chant de bataille pour nous.
Cette guerre n’est pas limité au territoire malheureux de notre île. Cette guerre n’est pas tranchée par la bataille des institutions démissionnaires. Cette guerre est totale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n’empêchent pas qu’il y a dans l’univers tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd’hui par la force politico-syndicale, nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force économique supérieure. Le destin du monde économique Calédonien est là.
Moi, chef d’entreprise, actuellement à Nouméa, j’invite le monde économique qui s’y trouve ou viendraient à s’y trouver à me rejoindre, pionniers, artisans, TPE, PME, avec vos idées, votre engagement, votre confiance en l’avenir, j’invite les agriculteurs, les éleveurs, les patrons de grands groupes, les sympathisants de brousse et des îles qui viendraient à s’y trouver à poursuivre l’effort et à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance du monde économique ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas.
Le combat pour un modèle économique et sociale est à ce prix.
Le chant des artisans :
Patron, entends-tu le vol noir des élus sur nos dock ?
Patron, entends-tu les cris sourds des partis qui t’enchaînent ?
Ohé, artisans, ouvriers et co-gérants, c’est l’alarme.
Ce soir le déni connaîtra le prix des cris et des tractes.
Montez de la mine, descendez des collines les rouleurs…
Sortez vos tas de ferrailles et roulez sur la ville, avant-garde !
Ohé fonctionnaires et politiques à deux balles, courrez vite
Ohé, bon payeur attention à ton fardeau : trop de dettes
C’est nous qui payons les retraites les pensions pour nos frères
La haine à nos trousse des envieux qui nous pousse vers la misère…
Il y a des Pays qui ne fond pas d’l’économie un doux rêve.
Ici, nous, vois-tu, ceux qui crée nous on les tue, on les crève.
Ici chacun sait ce qu’il veut ce qu’il fait quand il bosse.
Patron, si tu tombes les fiscaux et les banquiers font de la place…
Demain si tu lâches ton Pays ton économie, la déroute.
Chantez, artisans et patron, la liberté, nous écoute…
Patron, entends-tu le vol noir des élus sur nos dock ?
Patron, entends-tu les cris sourds des partis qui t’enchaînent ?
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh…
SI VOUS DESIREZ FAIRE VOYAGER CE DOCUMENT NUMERIQUEMENT, TELECHARGEZ LE
* Pièce jointe attachée : RPNC-une-nouvelle-Répuplique-Populaire.pdf
CONTRIBUTION ANONYME
Tu invites le monde économique ?
Les salariés aussi alors … J’ai pas bien lu je crois …
C’est quoi le but de ce rassemblement Jean Louis neyret ?
Faudrait corriger les Fôtes de grammaire avant.
Temps que ce ne sont pas des fautes de goût !!!
Bravo Clark !
J’aimerais bien rééditer ces quelques lignes pour les faire circuler, si tu es d’accord.
Bein ouais… sur le fond tu as raison….
Mais je le répète, on ne change pas grand chose armé d’une pince à sucre.
Et pour provoquer une prise de conscience, il faut parfois choquer.
Un “séminaire sur la construction du lien social”, rien que ça… et dans un hôtel de grand luxe, avec des consultants payés à prix d’or… pffff….
Awa… pas la peine parler, aurait dit ma mère…
C’est ça aussi …
C’est bien là que passe une partie de la richesse du pays : séminaires et soirées dans les hôtels des quartiers sud … Consultations répétées et grassement arrosées …
C’est pas compliqué : plus les mecs montrent que le patron à raison plus ils sont payés …
Les cabinets indépendants couvrent l’action ou l’inaction des gouvernants, normal au fond ils les nourrissent …
Mais avec le pognon qui devrait contribuer à bâtir la Calédonie de demain !
Si je ne me fais pas flinguer avant, Nicole…
Je me suis déjà fait péter les reins une fois, la prochaine fois peut-être qu’ils ne me louperont pas…
Mais d’ici là, si on essayait de changer les choses, en mieux?
Tu te souviens de ce grand, grand bonhomme, Théodore Monod?
Il disait “Le peu, le petit peu que l’on peut faire… il faut le faire quand même.”
Notre “Destin commun”, soit on le subit… soit on le prépare.
Bises à toi aussi.
Salut, GIL
C’est vrai que t’es bon quand tu veux !
Moi, j’aime bien ta grande gueule, il en faut ….
Continues, il en sortira sûrement quelque chose !
Les chiens aboient, la caravane passe
Bises
Ce sera l’éternelle position, pas missionnaire du tout, de ceux qui sont coincés entre ceux qui étaient là avant eux et ceux qui arrivent après eux… Classique : Les derniers arrivés veulent toujours donner des leçons à ceux qui les ont précédés. Résultat : Tout le monde a été le “zoreil” de quelqu’un à un moment donné… Juste que chez certains ça dure plus longtemps…
Oui, “le dernier arrivé ferme la porte”, ça fait longtemps que ça dure, et pas seulement ici, et c’est bien dommage… :/