« Vérité au-delà des Pyrénées, erreur en deçà », jamais cette pensée de Blaise Pascal (Pensées 294), n’avait été autant d’actualité que concernant l’affaire des radiations.
Pour éviter d’être radié de la liste électorale spéciale, mieux valait habiter en province Sud qu’en province Nord. À près de 90%, le juge de Koné a donné raison au FLNKS en prononçant des radiations à la pelle. En revanche, le tribunal de Nouméa a massivement suivi les décisions prises par les commissions de révision des listes électorales ayant statué contre les radiations. Cela fait évidemment s’interroger sur ce fait : comment une décision de justice, sollicitée sur un même thème, peut elle ainsi autant varier ?
Justice politique ?
Si l’on en croit le monde judiciaire, en particulier chez les avocats, la personnalité du juge de Koné tient pour beaucoup dans ses prises de décisions. Certaines robes noires s’étonnent en effet de la manière avec laquelle le juge de Koné est intervenu très personnellement, à la manière d’un juge d’instruction, dans le traitement des dossiers. De là à ce que le magistrat en charge de la Section Détachée du Tribunal de Première Instance à Koné, soit taxé d’être proche des indépendantistes, il y a un pas que bien des radiés n’hésitent plus aujourd’hui à franchir. La Cour de cassation, qui sera sans nul doute très sollicitée, apportera peut-être une réponse.
en province sud le juge applique la loi, c’est au plaignant de fournir les document concernant la demande de radiation.
en province nord le juge fait le travail du plaignant en fournissant les document necessaire a la demande de radiation
l’un fait son travail, l’autre fait beaucoup plus que son travail (exces de zele ???)…..cherchez l’erreur
en caledonie la justce n’est pas appliquée de la meme facon que l’on soit en province nord ou en province sud……ca craint vraiment
au fait ce en est ou pour les 7000 demande de radiation de kanak ? idée proposé par l’otes la….
Ce qui était demandé au juge était d’ordonner la production forcée des dossiers de la commission, ce que le juge a fait. Pas dans le Sud où rien n’a été vérifié et contrairement à la jurisprudence de la Cour de cassation qui ne laisse pas de pouvoir discrétionnaire au juge dans ce cas précis. Le recours en cassation porte précisément sur ce point. On ne bâtit rien de bon sans confiance et transparence.
Je me pose une question : Pourquoi deux poids deux mesures entre le juge du Nord et le juge du Sud ? Ne doivent-ils pas observer les mêmes lois ? Et quelle est la loi qui ordonne la production forcée des dossiers de la commission ?
La loi ne précisait donc pas que c’était au tiers-électeurs (en clair au demandeur de la radiation) d’apporter la preuve “lui-même” de sa demande de radiation d’un électeur donné … (SVP – Dites-moi si je dis une bêtise là ?)
M. CHAUCHAT ! MOVIEWORLD vous donne la marche à suivre pour vous faciliter la tâche. Serait-ce un effet de votre bonté que de vous y atteler et de nous gratifier “en masse” d’un tel document ? Condescendriez-vous (du haut de votre chaire) à nous faire ce cadeau ?
“….j’accepte d’envoyer les recours type à ceux qui m’envoient leurs mails et leur nom……” oui bien sur,……on n’oublie pas le numero de tel’ et l’adresse…ce sera plus facile pour remplir la ”blacklist” de gens a supprimer le droit de vote……..takakroire…….pour un “recour type”, tu as juste a scanner le papier, et a le mettre en piece jointe sur caledo….
Et bien soyez transparent, et dites nous comment vous avez déterminé le nom des 5600 personnes dont vous avez demandé la radiation.
C’est écrit dans les mémoires: personnes nées hors de la NC avant le 31 octobre 1980 et non présentes sur la liste générale de 1998, donc relevant de l’art. LO 188b et n’en remplissant pas un des critères. Rien d’ethnique, les Kanak naissant en général en Calédonie comme les Calédoniens de la double reconnaissance de 1988.
M. Chauchat, d’accord, et s’ils n’étaient pas inscrit sur la liste générale de 1998 ?
Si je suis votre logique, il faut remplir les 2 conditions.
Alors ? En toute transparence…
Maender vous a posé une question à laquelle vous ne répondez pas … il vous a demandé comment vous avez eu les noms des 5600 personnes dont vous demandez la radiation … LEUR NOM … monsieur Chauchat … LEUR NOM … ce n’est pas difficile de répondre … la question est pourtant simple. En effet vous connaissez leur nom mais vous êtes incapable d’apporter des preuves pour faire effectuer leur radiation, c’est quand même un peu bizarre non ?