Les Nouvelles n’ont jamais peur de s’engager quand l’omerta fait rage. Une fois de plus, aujourd’hui, elles le prouvent. C’est ainsi qu’à l’issue d’une enquête de terrain poussée, un journaliste d’investigation des Nouvelles Calédoniennes a déclaré : « Ils sont partout ».
« Ils », ce sont les pigeons. Selon le folliculaire monopolistique engagé récemment dans cette juste cause, ils créent la terreur, l’angoisse et la désolation au cœur même de la cité Nouméenne. En effet, une véritable « colonie » de gallinacés « aurait » (le journaliste n’est pas encore tout à fait sûr, d’où l’utilisation du conditionnel…) pris d’assaut les terrasses, les balcons, les fenêtres, les couloirs et les bureaux de plusieurs bâtiments officiels du centre-ville. Au point même de semer la zizanie au sein de la toute puissante Direction des Services Fiscaux (pourtant plutôt habituée à l’idée de travailler avec des pigeons).
Soyons clair : selon les Nouvelles, l’heure est grave, c’est la guerre. Raison pour laquelle la mairie de Nouméa envisage de sortir l’artillerie lourde : rien de moins qu’un arrêté municipal (dont la rédaction devrait prendre quelques semaines) pour empêcher les papys et les mamies de nourrir les horribles oisillons aux abords des espaces verts du quartier. L’heure de la tolérance zéro contre les distributeurs de miettes de pain semble enfin proche.
Face à cette menace qui pèse sur la population du pays, sur la santé publique et sur l’image de la Nouvelle-Calédonie dans le monde, la rédaction de Calédosphère ne manquera pas de se tenir informée des suites de ce tonitruant dossier. Courage !
Ce n’est pas le 1er avril pourtant !?
En effet ça c’est du journaliste, que dis-je du journalisme…!!!!Trop fort le folliculaire…C’est à se demander qui est le pigeon dans cette affaire…???
Ouf! J’ai eu peur quand j’ai vu le titre. J’ai cru qu’il s’agissait des envahisseurs ou des francs maçons! Mais ce n’était que des pigeons. Mais ça tout le monde sait qu’il y en a partout. Dans le commerce dans les banques les assurances la politique c’est truffé de pigeons! Mais le pire c’est quand même dans la politique. C’est incroyable le nombre de gens qui se sont faits avoir par ces oiseaux de malheur qui ne volent que pour eux une fois élus.D’ailleurs les gens sont dégoutés et roucoulent tous mais c’est bien trop tard!
Les pigeons urbains sont vecteurs de tout un tas de saloperies… Mais à Nouméa: ça m’étonnerait qu’ils soient aussi dégueulasses que ceux de Paris ou de Venise, qui sont de vrais rats volants…
Des rats volants ?!?! ……Lenkilé !
Sinon j’ai une solution (écologique) pour toute cette racaille volante.
on a trouvez quoi faire a la mairie ,un conseil si vous voulez les massacrer en masse, attendez les rares jours de grandes concentrations lorsqu’ils s’amassent a l’appel des vautours autour des bureaux de vote.
C’est bon ça !
Et si on les capturait pour les déposer à Saint-Louis…Bâtards de pigeons !
mort de rire!!!!!