L’ancien président de la République a officialisé sur Facebook son retour en politique. Première étape – et la seule évoquée pour l’instant : la présidence de l’UMP, pour laquelle il annonce sa candidature. Il souhaite réformer le parti en trois mois. Retour.
Signe des temps, ce n’est pas par un discours à la tribune ou dans une intervention télévisée que Nicolas Sarkozy a fait son retour en politique. C’est via son compte Facebook que le candidat malheureux de 2012 a choisi de (re)sortir du bois.
Attendu comme le messie par une partie de la droite, très divisée depuis la présidentielle et plus encore depuis l’échec de la présidence de Jean-François Copé, Nicolas Sarkozy le dit clairement : il veut « bâtir la formation politique du XXIème siècles ». Il évite d’ailleurs soigneusement, au fil de son texte de citer l’UMP en évoquant simplement sa « famille politique ». Pour cela, il propose de la :
transformer de fond en comble, de façon à créer, dans un délai de trois mois, les conditions d’un nouveau et vaste rassemblement qui s’adressera à tous les français, sans aucun esprits partisan, dépassant les clivages traditionnelles qui ne correspondent plus aujourd’hui à la moindre réalité
Essayant de prendre de la hauteur dans cette période jugée politiquement propice, il ajoute :
Ce serai une forme d’abandon que de rester spectateur de la situation dans laquelle se trouve la France, devant le délitement du débat politique, et la persistance de divisions si dérisoires au sein de l’opposition
T’es revenu mais je t’avais pas vu partir…
Ce retour en politique n’est évidemment pas une surprise, la rumeur était entretenue depuis des mois dans les médias par ses proches et ses alliés politiques. Lui-même avait assuré, début juillet, qu’il s’exprimerait sur le sujet peu de temps après la rentrée. Pour prendre la tête de l’UMP, il devra affronter les deux candidats déclarés, son ancien ministre Bruno Le Maire et Hervé Mariton. L’ancien chef de l’Etat place son discours dans la filiation gaullienne et se veut comme le héros de la Libération ; le sauveur de la France, qui comme une maitresse « n’aurait pas su être fidèle ».
On se doute que sur le « caillou » ce retour est vécu comme une promesse de sortie de l’Accord de Nouméa apaisé pour ses plus farouches partisans tel le sénateur Pierre Frogier, qui était depuis des mois dans l’expectative d’un retour prochain de Sarkozy, son « phare » comme il aime à le surnommer.
Si Sarkozy est le Messie, Hollande est son prophète.
je préfère celui de Barcelone il est petit mais il court vite dribble encore mieux et plante des buts plus que les autres
Un vrai comité de salut public.
Sur Fr.Inter, Eric Gay ferait confiance à Sarkosi !
[… et moi, je m’informerais sur RRB, j’emprunterais sur 30 ans pour Dumbea/mer,
je confierais ma voiture à Tuiyenon et présenterais ma copine à DSK.]
Bof…
FROGIER et consorts vont nous faire une crise de plus : Sarko ne repassera pas. Trop haï et trop de gamelles à traîner.
Waterloo II , pour Sarkoléon..
Espérons que comme toi, il paiera un jour pour ses actes malveillants. Il semble bien loin le temps où tu chialais comme un gamin dans la voiture de GT.
Un “messie” avec beaucoup de casseroles aux pattes tout de même…Un jour en France on comprendra que gauche et droite se valent et que ceux qui n’ont pas fait leur preuves durant un mandat précédent ne devraient pas se voir confier de seconde chance.La présidence Sarko bis n’apportera rien de bon, on prend les paris et on se retrouve en 2022 pour le bilan catastrophique!
Sarkommence !… le pluss liké sur Facebook… comme les gosses en CM2. Na !