Kenya: Impossible de laisser faire !!!!

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Cette violence inouie qui envahit cette partie d’Afrique est intolérable et elle n’est pas sans rappeller les drames passés du Rwanda. Difficile de se faire une idée réelle de la terreur qui règne actuellement. Si seulement la faune sauvage pouvait se rebeller pour arreter ces massacres, ou est le Roi Lion ????

Trois cents, quatre cents morts? Peut-être plus? Le Kenya n’avait en tout cas jamais connu de telles émeutes depuis son indépendance en 1963. Inédits, ces massacres se sont déclenchés à  l’issue d’un scénario cependant classique: une élection présidentielle tellement truquée, pour assurer au président sortant Kibaki un tranquille second mandat de cinq ans, que même la Commission électorale n’a pas pu l’avaliser. Révoltés, les partisans de son principal opposant Raila Odinga (un Luo qui pense qu’une “nation dirigée selon des critères ethniques est une nation en guerre avec elle-même”) s’en sont alors pris aux Kikuyu, perçus comme les suppôts d’un pouvoir corrompu et illégitime. Alors que la police a été appelée en renfort dans certaines zones du centre du pays, revue de blogs qui témoigne de la violence qui a saisi la rue kenyane. D’après un dernier bilan, ces heurts ont fait au moins 299 morts. Barrages et chasses à  l’homme sur une base ethnique. lire la suite sur Modem 76

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Créateur le 18 octobre 2006 du blog Calédosphère, Franck Thériaux est papa à temps plein d'une petite fille née le 1er Juin 2012. Selon son entourage, il passe beaucoup trop de temps sur internet… Membre émérite de la rédaction, il vit aujourd'hui en métropole après 23 belles années passées sur le Caillou. Il est en contact quotidien avec l’équipe et continue à participer à la vie de son « bébé numérique »
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barnabe de kone

Juste pour clarifier la situation, les medias ont eu tendance a exagerer l’ampleur des evenements. certes il y a officiellement 350 morts (sans doute plus) mais nairobi n’est pas en etat de siege. Il faut malheureusement admettre que les zones les plus touchées sont aussi les plus défavorisées. Les bidbonvilles ont brulés et leurs habitants ont fuit.
En tant que calédonien cela me rapelle des moments douloureux a un degré de violence moindre, mais la vie reprend doucement son cours a nairobi.

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