Pas simple d’être Martine Cornaille ! Présidente d’EPLP, Ensemble Pour La Planète, elle est engagée dans le combat écologique depuis des années. Un combat parfois sans concession qui lui vaut aujourd’hui de sérieuses inimitiés.
« Je suis très abîmée », l’aveu est lancé non sans une certaine émotion par Martine Cornaille au micro de Koodji TV. Si elle reconnaît être « le poil à gratter » de l’écologie, elle avoue aussi que son combat ne la laisse pas indemne, elle explique même être l’objet de menaces de mort.
Pour autant, cela n’altère en rien la force de ses convictions, auxquelles nombre cependant n’adhèrent pas. Le combat écologique que mène Martine Cornaille la pousse parfois à être seule contre tous, c’est le cas dans l’interview qu’elle nous a accordé.
http://www.contrepoints.org/2014/12/07/190534-ce-quon-voit-et-ce-quon-ne-voit-pas-a-propos-de-la-politique-du-climat
(Rires) T’as bien raison, Beber…
Le monde est déjà tellement merveilleux qu’il ne faut rien changer !
D’ailleurs, dans mon jardin, y’a pas d’émigrés climatiques
Et grâce à Monsanto, à McDo (et au FN ?) l’avenir est prometteur.
Alors en avant vers le futur idyllique du Progrès à perpèt’…
[… Et, bien sûr, que ceux qui sont pas moi se démerdent. Héhé !]
cher sagamore125 savants vous répondenthttp://www.contrepoints.org/2012/12/05/106823-climat-lettre-ouverte-de-125-scientifiques-a-ban-ki-moon
En plus , je suis sûr qu’ il a volé votre DICO !
… Je vois pas bien le rapport entre Cornaille et un inconnu qui traite avec “docteur maboul” (??), “une folle” (???), et “hurley” (????)rien compris
Il est clair que pour beaucoup elle représente une empêcheuse de tourner en rond, mais posons nous justement la question : que se passerait-il si EPLP n’existait pas, s’il n’y avait pas ce genre de personnes engagées en Calédonie pour aller à l’encontre de ceux qui n’ont que l’idée du profit en tête, quels qu’en soient les sacrifices ? Donc oui, même si la réthorique, le vocabulaire et les cibles choisies par Martine Cornaille ne sont pas toujours “parfaites”, elle a au moins le mérite de lever beaucoup de lièvres.
J’admire le courage de conviction de Martine Cornaille. Toutefois, je trouve que son approche des problématiques écologiques doit rester sur un plan strictement local, càd calédo-calédonienne. Parler de réchauffement global lié au CO2 anthropique et pointer du doigt les Calédoniens ne peut que la rendre impopulaire. Y’a tant d’autres sujets de pollution en Calédonie qui méritent plus d’attention que les fumées des centrales à charbon.
Vrai qu’y’a beaucoup d’autres sujets de pollution*, mais le poussier impactera directement un quart de la population pendant un tiers de siècle: c’est beaucoup sur une île !
[*le béton moche, E. Nouar, l’alcool, l’H2SO4, McDo, le made China, le sucre, LKU, le bruit, certaines défisc. , le tabac, la bêtise, les pestic…]
Ouais, pour Nouare et LKU ça va être dur dur de faire quelque chose.